Depuis maintenant plusieurs lunes, Arthor se laissé emporter par l'atog, toujours avare de sang et de chair. Il savait bien que s'il laissé trop de place à l'atog … Celui-ci lui prendrait tout. Et pourtant, il aimé tellement quand l'atog prenait le dessus, il se sentait enivré d'une extrême violence, terrassant tout sur son passage.
Et pour se délecter de chaque émotion qu'il ressentait lorsque l'atog s'emparer de son corps, Arthor devait lutter pour reprendre le contrôle de lui-même.
D'ailleurs, heureusement qu'il était jeune et qu'il débordait de vitalité, car l'effort, de se ré-approprier son corps était tel … qu'à chaque fin de crise … Arthor était harassé, délaissé de toute énergie.
Arthor, prenait toujours autant de plaisir à tuer, à déchiqueter, et surtout à dévorer l'heureux élu.
D'ailleurs, il affectionnait, tout particulièrement, les « petites retirées, plongées dans leurs pensées », c'était ses préférées.